Skip to main content

L'Oribus &
Histoire et société en Mayenne

L’oribus n° 97 – Novembre 2016

Au sommaire :

Ambroise Paré et le Japon
J-Y Gougeon

Retour sur l’affaire du «Pyromane du dimanche»
Christophe Tropeau

Jacques-Alexandre Mesnard du Hallay, curé de Bonchamp de 1743 à 1773
Michel Ferron

Le poilu de Garango
Françoise Marchand

Louis Prodhomme
Bernard Sonneck

En résumé :

Ambroise Paré et le Japon
J-Y Gougeon
Parues en France à partir de 1545, les Œuvres d’Ambroise Paré chirurgien né à Laval en 1510, ne seront connues, dans un Japon refermé sur lui-même, que 150 ans plus tard. Par quel cheminement ces traités ont-ils atteint le Pays du Soleil Levant ? Pourquoi aujourd’hui encore, d’éminents chirurgiens japonais venus à Laval honorer de leur présence les manifestations du quadricentenaire de sa mort, voient toujours en Paré « Le Père de la médecine des temps modernes ».

Retour sur l’affaire du «Pyromane du dimanche»
Christophe Tropeau
Fin 1890 : les gendarmes de Loiron, à l’ouest de Laval, sont sur les nerfs. Depuis plus d’un an, une série d’incendies a eu lieu dans les fermes des alentours. Tout laisse à penser qu’un pyromane en est à l’origine, mais celui-ci reste insaisissable. L’enquête de gendarmerie révèle beaucoup de la vie rurale mayennaise à la fin du XIXe siècle.

Jacques-Alexandre Mesnard du Hallay, curé de Bonchamp de 1743 à 1773
Michel Ferron
Jacques-Alexandre Mesnard du Hallay occupera la cure de Bonchamp de 1743 à 1773. Durant ces trente années, ce fils de notables angevins fortunés imprimera sa forte personnalité sur la commune : consacrant son patrimoine personnel à l’embellissement de l’église St Blaise, il se montrera l’ardent défenseur des intérêts matériels de la paroisse. L’évocation de son ministère permet d’approcher la vie d’un gros bourg rural mayennais à la fin de l’Ancien Régime.

Le poilu de Garango
Françoise Marchand
En 2014, lors d’un voyage à Garango, région jumelée avec Laval, Françoise Marchand a retrouvé la tombe et les papiers militaires de Kouka Garango, mobilisé en 1914. Kouka Garango a servi dans l’armée française jusqu’en 1929. Il a même obtenu la médaille militaire.

Louis Prodhomme
Bernard Sonneck
Quand un Mayennais conduisait la fanfare de la Garde Républicaine.